Tu comprendras quand tu seras plus grande
Lorsque j'ai ouvert l'enveloppe portant le logo "Fayard" et découvert "Tu comprendras quand tu seras plus grande", le nouveau roman de Virginie Grimaldi, j'ai tout d'abord été surprise par son…
Lorsque j'ai ouvert l'enveloppe portant le logo "Fayard" et découvert "Tu comprendras quand tu seras plus grande", le nouveau roman de Virginie Grimaldi, j'ai tout d'abord été surprise par son…
Lorsque j'ai vu cette photo représentant Marie sous les traits de la Vierge Noire des Baux de Provence sur Facebook, j'ai été envahie d'une profonde tristesse. Mon cœur s'est serré et des larmes…
S’il y a un épisode de ma vie d’étudiante dont je ne suis pas très fière, c’est bien cette expérience avec les petits poissons dans le cadre de travaux dirigés…
La violence verbale, je connais, je l'ai subie pendant des années. Mais jamais, au grand jamais, je n'aurai pensé qu'à mon tour j'aurai pu la faire subir à mon entourage…
L’autre jour, j’ai lu un énième article coup de gueule d’une blogueuse, mère au foyer, qui en avait assez d’avoir à justifier de ne pas avoir d’activité professionnelle, de ne pas être une mère qui bosse. J’ai l’impression que cette nouvelle montée en puissance des billets de mères au foyer relève d’un mal profond, celui de leur reconnaissance aux yeux de la société. J’en avais déjà parlé dans un billet, je ne vais pas revenir dessus. Mais en tant que mère qui bosse, je peux dire que le regard que posent les autres sur nous peut-être tout aussi culpabilisant, voire dénigrant.
La question n’est pas pour moi de savoir quelle est celle qui en fait le plus, quelle est celle qui a le meilleur rôle, quelle est celle qui devrait être davantage valorisée aux yeux de la société que l’autre, celle qui doit le plus culpabiliser… Non, chacune fait son choix – ou non d’ailleurs – et qui serais-je pour juger ce qui semble être le mieux pour chacune d’entre nous ? Non, ce que je veux dire c’est qu’on travaille ou qu’on ne travaille pas, dès que nous devenons mères, nous sommes soumises au regard et au jugement des autres (allaitement, portage, co dodo, tétine…). Nous sommes toutes dans le même bateau, toutes confrontées aux réflexions. (suite…)
Oui, je sais, quand vous lisez Femmes je vous aime, vous pensez toutes et tous à cette magnifique chanson de Julien Clerc et vous me détestez parce que vous aurez cet air en tête toute la journée… Mais comment ne pas parler des femmes alors que ce rendez-vous #10dumois tombe 2 jours après la journée internationale des droits des femmes ???
Je ne vais pas consacrer cet article à l’évolution des droits des femmes ni à ce qu’il reste à faire pour parvenir à davantage d’égalité (je n’attends pas le 8 mars pour ça, je le fais toute l’année), juste vous parler des femmes que j’aime parce que c’est le thème de ce nouveau rendez-vous.