Passer du temps avec son amoureux sans culpabiliser
Il y a quelques temps, sur la page Facebook, j'avais demandé aux personnes qui me suivent quels sujets elles aimeraient que j'aborde. J'ai reçu quelques réponses. Pour certaines, j'avais plus…
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Il y a les mères parfaites, les mères imparfaites, les mamans mais pas que, les mamans poules... Et il y a Olivia Moore, la mère indigne qui se donne en…
Cela fait longtemps que je voulais aborder le sujet de la fausse couche mais mon premier article est resté à l'état de brouillon. Même si cela remonte à plus de…
La fin d'année approche à grands pas et voilà que fleurissent sur les réseaux sociaux des belles idées cadeaux pour les maîtresses et les maîtres. Des choses à réaliser soit-même,…
L’autre jour, j’ai lu un énième article coup de gueule d’une blogueuse, mère au foyer, qui en avait assez d’avoir à justifier de ne pas avoir d’activité professionnelle, de ne pas être une mère qui bosse. J’ai l’impression que cette nouvelle montée en puissance des billets de mères au foyer relève d’un mal profond, celui de leur reconnaissance aux yeux de la société. J’en avais déjà parlé dans un billet, je ne vais pas revenir dessus. Mais en tant que mère qui bosse, je peux dire que le regard que posent les autres sur nous peut-être tout aussi culpabilisant, voire dénigrant.
La question n’est pas pour moi de savoir quelle est celle qui en fait le plus, quelle est celle qui a le meilleur rôle, quelle est celle qui devrait être davantage valorisée aux yeux de la société que l’autre, celle qui doit le plus culpabiliser… Non, chacune fait son choix – ou non d’ailleurs – et qui serais-je pour juger ce qui semble être le mieux pour chacune d’entre nous ? Non, ce que je veux dire c’est qu’on travaille ou qu’on ne travaille pas, dès que nous devenons mères, nous sommes soumises au regard et au jugement des autres (allaitement, portage, co dodo, tétine…). Nous sommes toutes dans le même bateau, toutes confrontées aux réflexions. (suite…)
Depuis le retour des vacances de décembre où nous avions bien rechargé les batteries, nous avons enchaîné les semaines sur un rythme infernal : boulot – transport en commun – activités sportives – activités associatives – déplacements professionnels – formation – compétition de judo ou tournoi/match les weekend… On a beau partager la gestion des différentes activités, caler nos agendas pour nous organiser au mieux, j’avais l’impression de ne jamais nous poser et d’être constamment en activité Egalipère et moi. Avoir des jours pour moi, j’en rêvais mais je remettais à plus tard, aux prochaines vacances.
Mais la fatigue a commencé à se faire beaucoup plus présente. La nuit, non seulement mon cerveau bouillonne mais lorsque nous ne sommes pas réveillés par un enfant en pleine nuit, c’est le chien du voisin qui hurle à la mort, des voitures qui passent à une vitesse folle dans la rue, des gens qui hurlent…
Je me sentais donc fatiguée. Épuisée serait le mot qui conviendrait le mieux mais je n’ai pas voulu écouter les signaux que m’envoyait mon corps jusqu’à ce matin là.