IVG méfiez-vous des sites « d’informations » !
L'IVG (Interruption Volontaire de Grossesse) est un droit, est-il encore besoin de le rappeler ? A priori, oui... Plus de 40 ans après la promulgation de la loi Veil, les…
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Le dimanche 20 mars, nous avons ENFIN pu découvrir le spectacle One Maman Show. Amélie, alias RiM, après avoir passé 4 ans a pouponner, a décidé de créer le premier service après vente pour les parents désemparés. Sur scène, elle enchaîne les textes chantés, slamés, beat-boxés ou racontés pour le plus grand plaisir des enfants mais aussi des parents (je suis fan au cas où vous ne l’auriez pas encore compris 🙂 ).
J’aurai pu vous parler des heures de ce spectacle mais rien de mieux que de découvrir le parcours de RiM pour vous donner envie d’y aller pour passer un très bon moment en famille.
L’autre jour, j’ai lu un énième article coup de gueule d’une blogueuse, mère au foyer, qui en avait assez d’avoir à justifier de ne pas avoir d’activité professionnelle, de ne pas être une mère qui bosse. J’ai l’impression que cette nouvelle montée en puissance des billets de mères au foyer relève d’un mal profond, celui de leur reconnaissance aux yeux de la société. J’en avais déjà parlé dans un billet, je ne vais pas revenir dessus. Mais en tant que mère qui bosse, je peux dire que le regard que posent les autres sur nous peut-être tout aussi culpabilisant, voire dénigrant.
La question n’est pas pour moi de savoir quelle est celle qui en fait le plus, quelle est celle qui a le meilleur rôle, quelle est celle qui devrait être davantage valorisée aux yeux de la société que l’autre, celle qui doit le plus culpabiliser… Non, chacune fait son choix – ou non d’ailleurs – et qui serais-je pour juger ce qui semble être le mieux pour chacune d’entre nous ? Non, ce que je veux dire c’est qu’on travaille ou qu’on ne travaille pas, dès que nous devenons mères, nous sommes soumises au regard et au jugement des autres (allaitement, portage, co dodo, tétine…). Nous sommes toutes dans le même bateau, toutes confrontées aux réflexions. (suite…)
Le 11 février 2016, le Conseil Supérieur de l’Égalité professionnelle entre les femmes et les hommes (CSEP) organisait un colloque sur le thème « sexisme dans le monde du travail,…
Oui, je sais, quand vous lisez Femmes je vous aime, vous pensez toutes et tous à cette magnifique chanson de Julien Clerc et vous me détestez parce que vous aurez cet air en tête toute la journée… Mais comment ne pas parler des femmes alors que ce rendez-vous #10dumois tombe 2 jours après la journée internationale des droits des femmes ???
Je ne vais pas consacrer cet article à l’évolution des droits des femmes ni à ce qu’il reste à faire pour parvenir à davantage d’égalité (je n’attends pas le 8 mars pour ça, je le fais toute l’année), juste vous parler des femmes que j’aime parce que c’est le thème de ce nouveau rendez-vous.
Depuis le retour des vacances de décembre où nous avions bien rechargé les batteries, nous avons enchaîné les semaines sur un rythme infernal : boulot – transport en commun – activités sportives – activités associatives – déplacements professionnels – formation – compétition de judo ou tournoi/match les weekend… On a beau partager la gestion des différentes activités, caler nos agendas pour nous organiser au mieux, j’avais l’impression de ne jamais nous poser et d’être constamment en activité Egalipère et moi. Avoir des jours pour moi, j’en rêvais mais je remettais à plus tard, aux prochaines vacances.
Mais la fatigue a commencé à se faire beaucoup plus présente. La nuit, non seulement mon cerveau bouillonne mais lorsque nous ne sommes pas réveillés par un enfant en pleine nuit, c’est le chien du voisin qui hurle à la mort, des voitures qui passent à une vitesse folle dans la rue, des gens qui hurlent…
Je me sentais donc fatiguée. Épuisée serait le mot qui conviendrait le mieux mais je n’ai pas voulu écouter les signaux que m’envoyait mon corps jusqu’à ce matin là.